Cette chinoise qui vécut à la fin du 19e siècle était une sacrée femme : révolutionnaire, poétesse, intellectuelle ! Patriotisme et féminisme restaient les thèmes principaux de ses œuvres littéraires. En plus de prôner pour les femmes la liberté de mariage ou encore l’abolition du bandage des pieds, Qiū JIn mena une vie qualifiée de peu conventionnelle pour l’époque : elle a quitté son mari et ses enfants, s’est impliqué en politique, buvait du vin, s’habillait parfois comme un homme, maniait l’épée.